Avec ISS Suisse, votre bâtiment devient un économiseur d'énergie

Le changement climatique et l’augmentation des coûts de l’énergie placent les entreprises suisses face à de grands défis. Les bâtiments sont responsables d’environ un tiers des émissions nationales de CO₂ et offrent donc un énorme potentiel d’optimisation.

Aider les clients à exploiter pleinement le potentiel d’économie d’énergie grâce à une gestion efficace est une mission centrale pour ISS Suisse. L’objectif est à la fois de soulager l’environnement et de réduire durablement les coûts d’exploitation. L’approche d’ISS en matière de gestion de l’énergie est basée sur un modèle clair en quatre phases : mesure, analyse, optimisation et reporting. Cette structure permet de développer des solutions sur mesure, ciblées sur les besoins individuels et les infrastructures des clients.

Une approche structurée pour des résultats mesurables

L’approche d’ISS en matière de gestion de l’énergie est basée sur un modèle clair en quatre phases : mesure, analyse, optimisation et reporting. Cette structure permet de développer des solutions sur mesure, ciblées sur les besoins individuels et les infrastructures des clients.

  • Mesure : tout d’abord, les principaux consommateurs d’énergie tels que la ventilation, le chauffage ou l’éclairage sont identifiés. Cela constitue la base pour toutes les autres optimisations.

  • Analyse : des visualisations et des évaluations basées sur l’IA permettent de mettre en évidence les processus inefficaces et les potentiels cachés, par exemple une consommation d’énergie élevée malgré une faible utilisation du bâtiment.

  • Optimisation : des mesures ciblées sont ensuite mises en oeuvre. Même de petites adaptations, comme le réglage fin des temps d’aération, peuvent permettre de réaliser des économies substantielles. Les mesures d’investissement telles que le passage à la technologie LED sont souvent amorties en quelques années.

  • Reporting : enfin, les économies réalisées et les réductions des émissions de CO₂ sont documentées de manière transparente. Cela montre aux clients que les investissements durables ne sont pas seulement judicieux sur le plan écologique, mais aussi rentables sur le plan économique.

"La gestion durable de l'énergie
est bénéfique – tant pour l'entreprise
que pour le climat".
— Dr. David Lunze, Responsable Gestion de construction, depuis 2016 chez ISS Suisse

Le développement durable, une réalité tangible pour les PME

Une gestion optimisée de l’énergie est possible non seulement pour les grandes entreprises, mais aussi pour les PME. Des mesures ciblées permettent d’obtenir des améliorations significatives, même avec des budgets raisonnables. Exemple pratique : une entreprise de taille moyenne a pu réduire sa consommation d’énergie de 15 % en optimisant son système de contrôle de la ventilation – améliorant ainsi également le climat intérieur.

Perspective d’avenir : pleins feux sur les technologies durables

Outre les méthodes établies, ISS Suisse mise sur des technologies innovantes telles que les solutions Smart Building et les systèmes basés sur l’IA. Ces technologies permettent de réaliser des analyses encore plus précises et de mettre en oeuvre des stratégies d’efficacité énergétique. ISS Suisse le montre : la gestion durable de l’énergie n’offre pas seulement des avantages écologiques, elle est aussi économiquement rentable, quelle que soit la taille de l’entreprise.

  • Des temps d’aération optimisés permettent d’économiser jusqu’à 190’000 kWh par an – ce qui correspond à la consommation d’électricité d’environ 40 ménages et permet d’économiser jusqu’à 30’000 CHF par an dans un espace de bureaux ouverts.

  • Les convertisseurs de fréquence dans les systèmes de ventilation réduisent la consommation de 25’000 kWh par an – suffisamment d’énergie pour faire fonctionner 5’000 machines à café par jour pendant un an. Cet investissement est généralement rentabilisé au bout de deux ans seulement.

  • Le passage à des ampoules LED retrofit permet d’économiser jusqu’à 13’000 kWh par an. C’est autant d’énergie que consommeraient 65’000 heures de vidéoconférence – et l’investissement est amorti en trois ans.

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L’externalisation commence sur une feuille blanche

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